58 minutes pour vivre (1990)

Remarques





 
Jaquette de 58 minutes pour vivre
 




 
Géographie
La menaces des méchants est un peu stupide: car la prise d'otage de l'aéroport de Washington-Dulles n'a aucun intérêt car il y a un nombre incroyable d'aéroport à proximité de celui-ci (le Ronald Reagan Washington National Airport est à moins de 30 kilomètres et l'Aéroport international Thurgood Marshall de Baltimore-Washington à Baltimore à moins de 55 kilomètres sans compter les aéroport de moindres importances), il n'y a donc aucun intérêt de faire tourner les avions au dessus des pistes alors qu'ils peuvent tout simplement se poser en urgence vers un autre aéroport.
Ajoutée le 21 juin 2015
 

 
Observation
Pendant tout le film ,la tour de contrôle n'arrive pas à joindre les avions, pourtant même si la radio ne fonctionne plus, il reste le téléphone puisque le journaliste l'utilise bien. L'aéroport n'a peut-être pas le numéro de téléphone de l'avion? Le téléphone est un bon prétexte pour une bonne vengeance envers le vilain journaliste. Mais ça ruine un peu le scénario.
Ajoutée le
 

 
Observation
John descend pour trouver un moyen de se rendre à la réunion à laquelle il n'est pas conviée. Cependant, on constate une erreur dans le montage, car le directeur de l'aéroport est dans sa salle au moment où le colonel allume la piste.
Ajoutée le 24 nov. 2005
 

 
Observation
plein d'autres: le type d'avion dont bruce s'ejecte avant explo des grenades(trop longues à exploser, c'est vrai! heureusement, pas un ne rate son jet, dans un angle et sur une cible pourtant diablement pas évidente!) n'est pas muni de siège ejectable! et même s'il l'était, il ne l'aurait projeté qu'assez haut pour se briser les jambes ou le bassin en retombant, la voile du pépin n'ayant ni le temps ni la distance suffisante pour se remplir d'air!( pour exemple, un chuteur operationnel a besoin d'au moins 150 metres pour un pausé d'assaut, et il n'est pas un acteur de cinéma!). L'aile où il grimpe pour combattre ne supporterait pas le poids conjugué des deux carcasses, la sienne et son assaillant, en train de faire des pîtreries! le kérozène a un indice de combustion qui rend impossible sa mise à feu avec un simple zippo, encore moins dans la neige! d'ailleurs, la trappe à kéro, boulonnée, n'aurait pas offert de prise et encore moins cédé sous le poid de bruce!
Ajoutée le 19 juin 2006
 

 
Observation
le beau bruce nous dit que le terroriste portait un glock 17, un flingue de 5000 dollars indetectable aux portiques d'aéroport! il serait plus juste de l'estimer à à peine 900 USD, et surtout plus sage de ne pas tenter de passer un portique d'aéroport avec: en effet, glissières de culasse, canon, ressorts de détente et surtout munitions, sont, eux, en bon vrai métal qui fait dring dring! arretons avec ce mythe exaspérent, même chez glock, ils n'osent plus!
Ajoutée le 19 juin 2006
 

 
Observation
A un moment donné, la journaliste dit 'un 747 c'est écrasé sur la piste'. C'est faux
Ajoutée le 24 juin 2007
 

 
Observation
Quelques erreurs ou bétises en vrac: Le pistolet à 50 coups. La vapeur dans la salle de transit des bagages. Les coups de feu dans cette même salle sans que personnes ne vienne voir. Couper un câble à moyenne tension avec une hache Ne pas dérouter les avions sur d'autres terrains L'animateur réprimandé pour utiliser un téléphone dans les toilettes mais pas la femme du policier. La modification complête des branchements des signaux radars et radios vers la chapelle en 5 minutes. Les détonateurs dans la Chapelle qui clignotent et font 'tic tic' : discret !!! Le réacteur du 747 qui avale un homme sans problème alors qu'une mouette suffit à le mettre hs.... Les pistes noires sans lumière totalement illuminées La neige qui suivant les séquences tombe ou ne tombe plus Les avions qui se posent toutes les 20 secondes alors que même par beau temps et en plein jour à Roissy en France l'espacement est de 2 minutes Du lourd du très lourd.........
Ajoutée le 25 juin 2007
 

 
Observation
Lors de la fusillade dans la salle des bagages, un des 'méchants' tire dans la bombe aerosol que John tient dans la main. Comme toute bombe, elle aurait dû exploser, et pas se briser comme une bouteille en verre
Ajoutée le 05 juil. 2007
 

 
Observation
a 7m33 du film : Quand le curé tombe a terre on voit le bras du faux électriciens baisser a 7m35 sur le plan suivant son bras et de nouveau pointer vers le curé
Ajoutée le 10 oct. 2010
 

 
Observation
À la fin du film, dans la version française, quand John prends sa femme dans les bras, elle l'appelle Jack. (Erreur de doublage)
Ajoutée le 14 nov. 2011
 

 
Observation
Que fait un rouleau compresseur qui écrase les bagages dans les tapis roulants (pour transférer les bagages vers les avions)
Ajoutée le 21 juin 2015
 

 
Observation
La menaces des méchants est un peu stupide: car la prise d'otage de l'aéroport de Washington-Dulles n'a aucun intérêt car il y a un nombre incroyable d'aéroport à proximité de celui-ci (le Ronald Reagan Washington National Airport est à moins de 30 kilomètres et l'Aéroport international Thurgood Marshall de Baltimore-Washington à Baltimore à moins de 55 kilomètres sans compter les aéroport de moindres importances), il n'y a donc aucun intérêt de faire tourner les avions au dessus des pistes alors qu'ils peuvent tout simplement se poser en urgence vers un autre aéroport.
Ajoutée le 21 juin 2015
 

 
Observation
Quand les deux faux électriciens entrent avec le gardien dans l'église, on peut voir qu'un des terroristes (qui porte le sac marron) cache très mal son arme: la poignée-pistolet dépasse au dessus de son bagage.
Ajoutée le 02 avril 2004
Minutage :  00:07:00
 

 
Observation
Lorsque John Mclane s'explique pour la première fois avec le chef de la Police de l'aéroport, il lui explique que les terroristes utilisent des pistolets Glock 17 en 'céramique'. Ils sont faits en polymère. Erreur de traduction.
Ajoutée le 11 mars 2004
Minutage :  00:20:27
 

 
Observation
Après que le commando de la police est été neutralisé, on peut observer les pieds d'un des terroristes avancer doucement vers le dos de Barnes, le sol jonché d'étuis 9mm. Mais on peut aussi voir la main, d'un des policiers morts, armé d'un pistolet automatique, chargeur vide. Or, l'embuscade a été si rapide que les policiers n'ont eu le temps d'utiliser que leur fusils d'assault.
Ajoutée le
Minutage :  00:43:00
 

 
Observation
Après avoir mitraillé le cockpit de l'avion où se trouve coincé Mac-Lane, le colonel Stuart et ses hommes finissent par y lancer des grenades, celles-ci mettent 31 secondes avant d'exploser. Un delai bien trop long pour ce type de grenade mais largement suffisant pour que Mac-Lane s'éjecte.
Ajoutée le
Minutage :  01:15:00
 

 
Observation
Lorsque tous les mercenaires vont s'envoler dans le boeing, il démarre. Le temps que MacClane arrive, qui batte Grant, que Stuart le fasse chuter, que ce dernier enleve le manteau rentre dans l'avion et que l'avion commence à décoller, il roule pendant 7 minutes sur la piste. En s'apercevant tout de même que l'avion roule a vive allure.
Ajoutée le 19 avril 2005
Minutage :  01:46:00
 



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